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Après le cannabis, les drogues hallucinogènes, prochain « hype » sur Wall Street?

Après le cannabis, les drogues hallucinogènes, prochain « hype » sur Wall Street?

Les premières entreprises développant des traitements médicaux à partir de drogues hallucinogènes comme le LSD, la kétamine et l’ingrédient actif des « champignons magiques » se préparent à entrer sur les bourses canadiennes.

En effet, Mind Medicine Inc., qui entreprend des essais cliniques de médicaments à base d’hallucinogènes, a l’intention de s’inscrire au NEO Exchange de Toronto d’ici la première semaine de mars, a déclaré JR Rahn, cofondateur et co-directeur général de l’entreprise. Un porte-parole de l’échange a confirmé l’inscription, qui est en attente d’approbations finales.

La compagnie prévoit s’inscrire sous le symbole MMED. Comme bien des entreprises en démarrage, elle ne génère pas encore de revenus et vise une valorisation d’environ 50 millions de dollars, a déclaré M. Rahn. MindMed compte l’ancien co-PDG de Canopy Growth Corp.,  Bruce Linton en tant que directeur et la vedette de Shark Tank Kevin O’Leary en tant qu’investisseur.

Selon M. Rahn, « Notre ambition est d’être l’une des premières sociétés neuropharmaceutiques cotées en bourse à développer des médicaments à partir hallucinogènes ».

D’ailleurs, il y aurait un intérêt croissant des investisseurs pour les médicaments à base de drogues hallucinogènes, a déclaré Ronan Levy, président exécutif de Field Trip Psychedelics Inc, un réseau de cliniques axées sur la psychothérapie améliorée par la kétamine.

En somme, encore une fois, selon le JR Rahn, « l’industrie des médicaments faits à partir d’hallucinogènes pourrait être beaucoup plus grande que l’industrie du cannabis, car elle va attirer des capitaux institutionnels et commence déjà à le faire […] ce sera également un espace plus concentré, car les barrières à l’entrée sont beaucoup plus élevées. »

Du point de vue des investisseurs, étant un nouveau secteur qui se créer, de nombreuses opportunités pourraient se créer pour les plus avertis.

En somme, ce sera un secteur à surveiller dans les prochains mois.

 

L’impact du virus maintenant appelé Covid-19 sur la Chine

Bloomberg a cité un nouveau rapport provenant de la « China Merchants Securities (CMSC) » selon lequel les ventes de nouveaux appartements avaient chuté de 90% au cours de la première semaine de février en comparaison à la même période l’année dernière.

D’ailleurs un analyste de la société de conseil immobilier China Index Holdings ltée, Bai Yanjun a affirmé que « Le secteur se prépare à un impact pire que la pandémie de SRAS de 2003 ».

La cause de cette baisse aussi importante est principalement que, bien avant l’éclosion du coronavirus, le marché chinois du logement était déjà sur un terrain fragile au milieu d’une baisse de la demande, principalement causée par une hausse des exigences hypothécaires et un exode important des acheteurs.

Or, un dernier choc est venu frapper l’économie chinoise : selon Bloomberg, les deux tiers de l’économie chinoise étant au point mort, cela pourrait générer suffisamment de pessimisme pour faire éclater la bulle immobilière massive du pays. En effet, alors que de nombreuses entreprises manufacturières, financières et commerciales se sont remises au travail cette semaine, les promoteurs immobiliers restent fermés. Ainsi, bien que les gens puissent toujours acheter des appartements en ligne, les salles d’exposition dans plus de 100 villes sont fermées pour minimiser les contacts humains.

De plus, mercredi soir, la Chine annonçait que la situation était loin de s’améliorer. En effet, on confirmait maintenant plus de 60 300 cas du coronavirus, maintenant appelé le Covid-19.

En somme, constituant plus de 15% du produit intérieur brut planétaire, la situation de l’économie chinoise sera à surveiller dans les prochaines semaines et mois, puisque l’impact pourrait se faire ressentir à plus grande échelle si le virus venait à continuer à se répandre. Pour ceux qui désireraient se préparer, voici un tableau des secteurs les plus exposés à l’économie chinoise :

information technology

 

Comment bien allouer son capital?

L’allocation de capital est un élément extrêmement important du trading. En effet, par expérience, je serais prêt à affirmer que l’allocation de capital joue un rôle aussi important, si non plus, que la sélection de titres elle-même. Une allocation de capital permet de gérer son risque de façon optimale, de façon à laisser courir ses gains et couper ses pertes rapidement.  J’irais même jusqu’à affirmer que la volonté première d’un investisseur devrait être la préservation de son capital.

Ainsi, l’allocation du capital dépend de l’expérience de l’investisseur ainsi que de son capital. De ce fait, un négociant débutant commencera avec une ou deux positions, tandis qu’un négociant expérimenté pourra initier et gérer un plus grand nombre de positions simultanément. De plus, tel que présenté dans le tableau ci-dessous, l’allocation en capitale variera selon le capital du négociant :

Capital dédié (sans marge) Min. % suggéré par position Max. % suggéré par position FNB indiciel Min. % suggéré par position FNB indiciel Max. % suggéré par position
10 000 $ 30 % 50 % 40% 60%
25 000 $ 25 % 40 % 32.5 % 50 %
50 000 $ 15 % 30 % 22.5 % 35 %
100 000 $ 10 % 20 % 15 % 25 %
250 000 $ 5 % 15 % 10 % 20 %
1 000 000 $ 5 % 10 % 10 % 15 %

 

De plus, en ce qui concerne la gestion de perte, il est important d’avoir des règles strictes à cet effet. Par exemple, ce qui est recommandé est dès que la totalité des pertes atteint le seuil du 1% à 2% du capital/équité actuel à l’intérieur d’une période de 5 jours ouvrables, on doit arrêter de transiger pour les 5 prochains jours ouvrables et comprendre la raison se ces pertes. Ensuite, si l’on recommence et que la totalité des pertes atteint 2% à 4% sur une période de 20 jours ouvrables, on doit arrêter pour 20 jours et recommencer à faire de la simulation et analyser l’ensemble de ses transactions dans le but de recommencer et d’être profitable.

Aussi, il n’est également pas recommandé de commencer à transiger avant d’avoir fait de la simulation jusqu’à ce qu’on soit profitable de manière constante. Avec ces règles, jumelé à une bonne stratégie d’entrée et de sortie, un trader devrait être en mesure d’atteindre la profitabilité constante.

Après le cannabis, les drogues hallucinogènes, prochain « hype » sur Wall Street?

Les premières entreprises développant des traitements médicaux à partir de drogues hallucinogènes comme le LSD, la kétamine et l’ingrédient actif des « champignons magiques » se préparent à entrer sur les bourses canadiennes.

En effet, Mind Medicine Inc., qui entreprend des essais cliniques de médicaments à base d’hallucinogènes, a l’intention de s’inscrire au NEO Exchange de Toronto d’ici la première semaine de mars, a déclaré JR Rahn, cofondateur et co-directeur général de l’entreprise. Un porte-parole de l’échange a confirmé l’inscription, qui est en attente d’approbations finales.

La compagnie prévoit s’inscrire sous le symbole MMED. Comme bien des entreprises en démarrage, elle ne génère pas encore de revenus et vise une valorisation d’environ 50 millions de dollars, a déclaré M. Rahn. MindMed compte l’ancien co-PDG de Canopy Growth Corp.,  Bruce Linton en tant que directeur et la vedette de Shark Tank Kevin O’Leary en tant qu’investisseur.

Selon M. Rahn, « Notre ambition est d’être l’une des premières sociétés neuropharmaceutiques cotées en bourse à développer des médicaments à partir hallucinogènes ».

D’ailleurs, il y aurait un intérêt croissant des investisseurs pour les médicaments à base de drogues hallucinogènes, a déclaré Ronan Levy, président exécutif de Field Trip Psychedelics Inc, un réseau de cliniques axées sur la psychothérapie améliorée par la kétamine.

En somme, encore une fois, selon le JR Rahn, « l’industrie des médicaments faits à partir d’hallucinogènes pourrait être beaucoup plus grande que l’industrie du cannabis, car elle va attirer des capitaux institutionnels et commence déjà à le faire […] ce sera également un espace plus concentré, car les barrières à l’entrée sont beaucoup plus élevées. »

Du point de vue des investisseurs, étant un nouveau secteur qui se créer, de nombreuses opportunités pourraient se créer pour les plus avertis.

En somme, ce sera un secteur à surveiller dans les prochains mois.

 

Sources :

https://daytradercanada.com/negociateur-actif/comment-investir-en-bourse-3-erreurs-a-eviter/

https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-02-11/china-home-sales-plunged-90-in-first-week-of-february-on-virus

https://www.cnbc.com/2020/02/13/coronavirus-latest-updates-china-hubei.html

https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-02-11/move-over-pot-psychedelic-companies-are-about-to-go-public?fbclid=IwAR0CmDbnlUxdJC_8QRLSmqpjozZh7zzKo6nHLicCmNTnrn6kW-MfMhwUKXc

https://www.zerohedge.com/markets/worse-impact-sars-china-home-sales-crash-first-week-february?fbclid=IwAR3x3omxLxwtDv77l9B3gsDy81SL00dWfiggULN4xiBdZFR6MpUikBr7h8s

https://foreignpolicy.com/2017/02/24/infographic-heres-how-the-global-gdp-is-divvied-up/

 

Avis et déclaration:

L’auteur de ce billet déclare ne détenir aucune position dans les titres mentionnés et de ne pas avoir l’intention d’initier une position dans les 72 prochaines heures. Cet article est une opinion et ne doit en aucun temps être considéré comme un conseil en investissement.

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L’investissement autonome actif devrait être considéré comme une activité de nature spéculative qui de par cette nature peut comporter des risques importants pouvant entraîner des pertes significatives en capital. Un investisseur autonome actif se doit d’avoir une compréhension de sa tolérance au risque et de ses objectifs d’investissement avant de considérer l’investissement autonome actif comme activité.

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